La combattante
«J’aime l’idée qu’on dise de moi que je suis “tough” car c’est vrai que nous ne sommes pas beaucoup de filles à pratiquer des sports de combats et faire des compétitions. Rentrer dans une cage en sachant que tu vas te manger des coups ce n’est pas quelque chose que tout le monde est prêt à faire donc je dégage une petite fierté à faire partie de cette gang-là.
Pourtant être une “tough” girl ça s’applique aussi à plein d’autres domaines. Élever des enfants c’est tough, se faire une place professionnellement c’est tough. Et la plupart des femmes le font. Je suis contente d’avoir ma place aux côtés des ces femmes-là et montrer que le terme “sport de gars” n’existe pas.» -Aurélie Crapez-
Depuis 5 ans, Aurélie s’entraîne et participe de manière amateur à des combats de MMA (mixed martial arts).
Montréal, Qc. 2018
